Galerie Mitterrand - Merci Louisette - Fourtou
- il y a 9 ans
Merci Louisette, Jean – François Fourtou
Jean-François Fourtou présente son exposition « Merci Louisette » à la Galerie Mitterrand pour un voyage expérimental dans l’intime et la mémoire enfouie.
A première vue, des abeilles géantes butinent ça et là dans un espace écarlate et éclairé, comme pour construire une « maison ruche » qui se renfermerait petit à petit sur nous-mêmes.
Guidé par un « fil de vie », une sorte de fil d’Ariane, le visiteur est guidé vers l’entrée d’un labyrinthe intrigant bien que familier. En effet, l’artiste a récupéré les meubles issus de l’héritage de sa tante Louisette, qu’il aimait particulièrement, et les a disposés pour créer un endroit confiné et chaleureux.
Le but est d’évoquer le souvenir et la nostalgie, autant chez l’artiste que chez le spectateur à travers des objets et des meubles anciens, connu de tous, dans les maisons de campagnes ou celles des grands-parents notamment.
Jean-François Fourtou rend ainsi un hommage personnel à sa tante, mais également à l’enfance plus généralement, marquée par des lieux et des personnages qui nous ont été proches, qui nous ont marqués.
Delphine Bonvarle
Jean-François Fourtou présente son exposition « Merci Louisette » à la Galerie Mitterrand pour un voyage expérimental dans l’intime et la mémoire enfouie.
A première vue, des abeilles géantes butinent ça et là dans un espace écarlate et éclairé, comme pour construire une « maison ruche » qui se renfermerait petit à petit sur nous-mêmes.
Guidé par un « fil de vie », une sorte de fil d’Ariane, le visiteur est guidé vers l’entrée d’un labyrinthe intrigant bien que familier. En effet, l’artiste a récupéré les meubles issus de l’héritage de sa tante Louisette, qu’il aimait particulièrement, et les a disposés pour créer un endroit confiné et chaleureux.
Le but est d’évoquer le souvenir et la nostalgie, autant chez l’artiste que chez le spectateur à travers des objets et des meubles anciens, connu de tous, dans les maisons de campagnes ou celles des grands-parents notamment.
Jean-François Fourtou rend ainsi un hommage personnel à sa tante, mais également à l’enfance plus généralement, marquée par des lieux et des personnages qui nous ont été proches, qui nous ont marqués.
Delphine Bonvarle